Voici des photos de hier, lors des 3 heures de rencontre/conference que j’ai donné à l’Esa sur ma pratique artistique. Du baume pour le cœur de voir des jeunes si intéressés à mon travail et à ma façon d’impliquer les gens dans mes pratiques contextuelles ! Difficile d’expliquer « comment je fais » à mettre en scène les gens, chez eux ou ailleurs, avec autant de participation… sans dire que cela se crée quand on est complètement ouverts à l’autre et que l’autre le ressent et devient complètement ouvert à toi. La photo, le cinéma, l’art n’ont rien à voir là dedans…c’est de la résonance. Après, il faut metriser tous ces outils thecniques bien et rapidement pour pas casser le jeu, et produire un résultat percutante car on aime aussi le public qui vient après et on a une vision esthétique de ce que l’on fait. Ça s’apprend sur le terrain et c’est pour cela que je n’ai pas de secrets. Pour finir, on s’est divisés en trois groupes et on a fait des « Happenings de lecture aléatoire ». Chaquun est reparti avec sa phrase qu’on s’est lu mutuellement.




Ici le lien qui annonçait la conference : https://www.esa-n.info/post/rossella-piccino-conférence?fbclid=IwAR3Jw82fczCMHz_Hwjm2wXENAY-y3ZuVua1Pa0Uml3blwNkHknO7AKxu51Q
Ceci c’est passé dans le cadre du Séminaire art et territoire(s) qui réunit des étudiant·es de l’Esä et du master Art et Responsabilité Sociale (Département Arts de l’Unversité de Lille).
J’ai notamment présenté mes projet « En Mutation », « Dernière Visite » et « Happenings domestiques de lecture aléatoire ».




