Les histoires d’objets aimés et perdus constituent un « bric-à-brac de l’intime » dans lequel, fouillant les tiroirs de la mémoire, nous allons découvrir des petits riens tels que des bijoux offerts en cadeau par des proches et perdus à la plage ou dans le lavabo, ou bien aussi une clée usb achetée aprés une été entiere de travaille, et plein de petites autre choses liées au registre personnel et familial.
D’autres fois, les particularismes d’un groupe donné deviennent évidents par certaines objets evocateurs de la réligion ou de la provenance ethnique et geographique de la personne. L’emersion de ces particularismes par le biais d’un travail artistique est la clée pour ouvrir la porte du dialogue interculturel d’abord à un niveau interne, parmi les participants des nos séances d’atelier et, en suite, chez les visiteurs de notre expo.
Dans le photos qui suivent, les personnes répresentées, pour des raisons personnelles ou liées à leur statut de refugiés, n’ont pas voulu montrer leur visage.
Une tablette comme celles utilisées dans les écoles choraniques. Déssus la personne a gravé des fleurs typiques du Ciad et il a écrit une phrase en arabe qui traduite en français signiphie: « dans la vie il n’y a rien de plus dure que l’exile ».
Une clée USB achetée après beaucoup de travail et avec beaucoup d’orgueille, quand personne en possedait une dans les petits villages sur la frontiere entre Algerie et Tunisie. L’objet est misterieusement desparu après etre passé de main en main dans le laboratoir d’informatique de la faculté d’ingegnerie.
La tasse ici remplace le vrai objet (au moment du test photo en train de secher), une table miniaturisé. La table comme symbole de la famille d’origine de laquelle on a du se separer.